La nouvelle série Netflix Ju-On Origins (2020), énième remake de la célèbre saga de J-horror initiée par Takashi Shimizu en 2000, reprend le thème abordé dans chaque opus : une maison hantée par une rancune si puissante que rien ne peut l'apaiser. La raison de cette terrible malédiction étant, dans chaque opus, la colère d'une femme et de son enfant injustement assassiné.e.s par un mari, un père, un beau-père devenu fou de jalousie. #WeToo
Top 6 des maisons hantées dans l’audiovisuel
Envie d'une petite virée dans les recoins sombres d'anciens manoirs ? Voici 6 films ou séries pour partir à la recherche de phénomènes étranges et d'horreurs insoutenables !
Les fantômes de l’Asie dans l’audiovisuel
Tout comme les œuvres du cinéma fantastique et notamment d'horreur (qui sont très en vogue dans l'aire culturelle asiatique et à l'International), les jeux vidéos et l'animation s'exportent également en grand nombre ainsi que la littérature, en particulier la bandes-dessinée, et notamment le manga, font écho dans la pop culture française et occidentale.
Le karma au cinéma
Entre Réincarnation/Rinne de Takashi Shimizu et Cloud Atlas des Wachowski, le karma est mis en scène dans un bon nombre d'œuvres audiovisuelles.
Trois croyances japonaises à l’écran
Terre peuplée d'esprits et de dieux en tout genre, le Japon possède des croyances et superstitions qui peuvent paraître étranges pour l’œil occidental. Entre horreur et humour, ces croyances sont encore aujourd'hui rapportées dans de nombreux médias nippons.
Top 3 des yûrei-eiga, films de fantômes japonais
S'inspirant du théâtre traditionnel nô et kabuki mettant en scènes d'anciennes légendes de fantômes nippons, les yûrei-eiga (films de fantômes) sont friands de dames fantomatiques aux cheveux longs d'un noir de jais dont la rancune et la jalousie sont si puissantes qu'elles peuvent altérer la réalité et le destin des individus. Appartenant au genre plus large des kaidan-eiga (films d'horreur nippons et le domaine du J-horror), voici un petit top 3 des films de fantômes japonais.