On pourrait penser que les films de la catégorie III ne sont que des simples films d’exploitation, tournés avec trois francs six sous et sans aucune finesse artistique que ce soit au niveau de la mise en scène, de l’écriture ou bien de la profondeur des personnages. Toutefois, il est nécessaire de réviser une bonne fois pour toute une telle approche du cinéma hongkongais qui, on ne va pas se le cacher, regroupe un vaste ensemble de films aussi gores que subversifs au sein de cette catégorie III.