Réalisé par Charlie Kaufman, Je veux juste en finir est un film horrifique et poignant ainsi qu'un drame psychologique qui ne manque pas d'originalité. La recette ? Une pincée de Split (M. Night Shyamalan, 2017), un zeste de The Visit (M. Night Shyamalan, 2015), un grain de Donnie Darko (Richard Kelly, 2001), une lichette de Midsommar (Ari Aster, 2019), un souffle de The Man from Earth (Richard Schenkman, 2007) et un poil de I Am the Pretty Thing That Lives in the House (Oz Perkins, 2016), et on n'obtient que 25% de la complexité de cette œuvre du scénariste d'Eternal Sunshine.
Til Death Do Us Part, la mort sous tous ses aspects
Til Death Do Us Part (2019) est une anthologie du cinéma de genre (thriller, fantastique, horreur) en provenance de Taïwan constituée de sept histoires courtes ayant comme thématique la mort. Ces sept histoires courtes nous conte un monde où la mort est, à l'instar de l'être humain, très complexe, parfois triste, parfois nécessaire, parfois joyeuse (tout dépend alors du point de vue de « celui qui reste »).
Conte Spatial : Le Watcher [Nouvelle numérique]
En partenariat avec Three Mothers Films, la collection Mondes étranges des éditions StranuMundu vous présente son premier livre numérique pour les plus grands Conte Spatial : Le Watcher .
Kuroneko, un conte en noir et blanc
Poétique et d'une atmosphère magique rare, Kuroneko/The Black Cat est un film japonais réalisé par Kaneto Shindo et sorti en 1968. Véritable fable horrifique, cette oeuvre nous conte l'histoire de deux femmes, une mère et sa belle-fille, victimes d'une guerre durant laquelle elles se sont faites violées puis tuées par une bande de samouraïs. Leur rancune ne pouvant être effacée, elles renaissent sous la forme d'un esprit-chat (bakeneko) et font le serment de tuer tous les samouraïs.
3 films d’horreur indiens
Marre des Bollywood à l'eau de rose ? Entre angoisse et humour, voici un petit top 3 des films et séries horrifiques d'origine indienne.
10 films sud-coréens à savourer !
Très dynamique, le cinéma sud-coréen ne cesse d’intéresser les spectateurs du monde entier. Même si la majorité des productions cinématographiques sud-coréennes visent en majorité un jeune public (l'expansion des drama coréens humoristiques ou à l'eau de rose) et de natifs (productions de films classiques basés sur les traditions et la culture coréenne), une nouvelle vague de réalisateurs modernes a permis au cinéma sud-coréen de prendre son envol dans les années 2000.