Le Miel du diable
Une soumise parfaite, elle obéit docilement à mes ordres que ce soit pour me sucer, prendre une douche glacée ou encore se laisser attacher. Alors, après l’avoir ligotée et placée au sol, j’ai commencé par des jeux classiques à base de fouet et de cire chaude avant de faire glisser la flamme d’un briquet sur sa peau. J’ai écouté ses gémissements se transformer en râles et en petits cris de douleurs mais je veux l’entendre hurler et pour ça je dois aller plus loin. Une paire de pinces pour les tétons de ses seins volumineux et une autre pour ses testicules, un léger mouvement du poignet et j’active le générateur qui fait trembler ce corps. Mais ses cris ne sont pas encore assez puissants, elle pousse mon imagination et mon désir à l’extrême. Heureusement il me reste une arme secrète mais je dois d’abord la fouetter de nouveau. Sous mes coups sa peau rouge vire au violet et quelques lacérations apparaissent un peu partout, elle est prête. Je dégaine enfin ce que j’appelle le miel du diable, mon jouet ultime. Ce mélange visqueux, contenant de l’alcool et du piment, que je verse sur ses plaies, ce qui me permet enfin d’entendre ses hurlements qui résonnent comme une douce musique à mes oreilles. Quelques minutes bruyantes plus tard, je l’ai libéré et, pour récompenser sa dévotion, je passerai le reste de la soirée à prendre soin d’elle et à lui rendre le plaisir qu’elle m’a offert.

La Femme du lac
La maison au bord du lac, notre résidence secondaire, depuis toujours j’aime y aller mais encore plus depuis qu’adolescent, je me suis mis à épier notre belle voisine. Tous les matins, pensant être à l’abri des regards, elle se baigne nue dans son coin du lac entouré d’arbres. D’année en année je me délecte de la vue de son corps parfait sur lequel le temps n’a pas d’emprise.
J’ai aujourd’hui 20 ans et j’ai établi un plan ! En faisant semblant de me promener sur le chemin entourant l’eau, je passerai à sa hauteur à l’heure de sa baignade quotidienne en espérant pouvoir entamer la conversation. Quand elle me vit, loin d’être gênée, elle marcha lentement vers sa serviette et j’eus le temps de me rincer l’œil avant qu’elle ne se couvre. Nous avons parlé de tout et n’importe quoi pendant quelques minutes, des sujets divers tels que la beauté des lieux ou cette rencontre fortuite après tant d’années sans se voir. Le moment ne fut pas aussi intense que je l’avais imaginé. Après ça, c’est mon petit esprit de voyeur qui reprit le dessus et j’ai continué à l’observer sans autre interaction.
Un matin en rassemblant ses affaires elle fixa son regard dans ma direction et lâcha sur le sol ce qui me semblait être un morceau de papier. Après qu’elle soit rentrée chez elle, je me suis approché pour récupérer une note pliée que je m’empresse d’ouvrir pour découvrir un mot qui m’était adressé :
« Arrête de porter des maillots, moi aussi je veux profiter du spectacle quand je te regarde te baigner ».

Une Folle envie d’aimer
Mon réveil sonne et j’ouvre les yeux pour découvrir la chambre dans laquelle j’ai passé la nuit. Mes pensées s’alignent et je me repasse rapidement la soirée pour comprendre où je suis. Je revois le bar, des bières, un homme magnifique et une nuit torride. Les souvenirs remontent et je repense à l’odeur de sa peau, le goût de son membre, la douceur de sa bouche autour du mien et la fermeté de ses muscles que j’empoigne pendant que je le pénètre. Le sexe sauvage entre deux hommes passionnés et pleins de désir. En tournant la tête, je croise son regard et son sourire malicieux. La bosse au niveau de son bas-ventre me laisse deviner la suite du programme d’autant qu’elle répond parfaitement bien à celle qui empêche les draps d’épouser mon corps. Je le trouve moins beau qu’hier mais j’ai envie de me détendre pour bien démarrer la journée. Sa main calleuse glisse sur mon corps et agrippe sans douceur mon sexe qui finit rapidement dans sa bouche. Il se déchaîne comme s’il voulait déjà avoir fini. Je le caresse tendrement mais ma douceur ne trouve pas de réponse. Ma main glisse vers son entrejambes et je commence à le masturber. Quelle déception de sentir son sperme chaud couler entre mes doigts, un petit coup rapide n’était pas dans mes projets du jour avec lui. En me décontractant complètement, je me laisse aller à éjaculer dans sa bouche, il avale tout et s’applique à utiliser sa langue pour nettoyer parfaitement mon gland. Un dernier baiser et, quelques minutes plus tard, je suis dans un taxi pour rentrer chez moi, conscient que je ne le reverrai jamais. Soir après soir, homme après homme, le même schéma se répète, le romantisme ne dure que le temps d’une nuit et au matin j’ai le sentiment de n’être qu’un objet, un vulgaire sextoy. Le romantique en moi attend désespérément celui qui fera battre mon cœur aussi fort qu’il fait chauffer mon corps. Ce soir, encore, je trainerais dans les bars à la recherche de l’amour en commençant par le prochain homme qui attisera mon feu intérieur.

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