5 films cauchemardesques

Paperhouse, film britannique réalisé par Bernard Rose en 1988.

Anna, petite fille malade dessine souvent une maison posée au milieu de nulle part. Elle y entrera par le biais de ses rêves dans lesquels elle aura du mal à revenir à la réalité.

Peu commun, Paperhouse est un petit O.V.N.I à l’anglaise. Un thriller bien différent de ce qui est montré à cette époque. Une retranscription des peurs de l’enfant sous forme d’un conte.

Paperhouse

Ne t’endors pas aka Before I wake, film américain réalisé par Mike Flanagan en 2016.

Le petit Cody, devenu orphelin après le décès de sa mère, est adopté par un couple lui aussi en deuil. Le petit garçon refuse de s’endormir, craignant que les monstres qu’il voit dans ses rêves ne prennent réalité.

Mike Flanagan, l’étoile montante du cinéma de genre à qui l’on doit la très bonne série Hauting of Hill House, réalise ici un film de lutte à tous niveaux, à base d’horreur et de mélancolie.

NeT'endorsPas

The Slayer, film américain réalisé par J. S Cardone en 1982.

Kay souffre d’affreux cauchemars dans lesquels un monstre commet des meurtres horribles. Elle se rend compte que l’habitation, qu’elle voit dans ses cauchemars, n’est autre que le lieu de ses vacances de rêve qui avaient pourtant bien commencé.

Un slasher des années 80 sanguinolent, avec des effets spéciaux qui restent encore louables. Un petit film divertissant pour les amateurs du genre.

TheSlayer

Dreamscape, film américain réalisé par Joseph Ruben en 1984.

Alex Gardner semble avoir des capacités extraordinaires. Le Docteur Novotny s’y intéresse et décide de concevoir une machine permettant d’entrer dans ses rêves afin de le guérir de ses cauchemars. Il ne sera pas le seul à vouloir tirer profit de cette expérience.

Faisant écho à plusieurs problématiques de l’époque, Dreamscape mérite de par son effet chimérique, une attention toute particulière.

Dreamscape

Les Griffes de la nuit aka A Nightmare on Elm Street, film américain réalisé par Wes Craven en 1984.

Un serial killer peu commun s’introduit dans les rêves d’adolescents d’une petite ville de l’Ohio et tout particulièrement dans ceux de Tina, qui se sent isolée lorsque ses amis refusent de la croire. Jusqu’au jour où elle ne semble plus être la seule à être la victime de ce cauchemar vivant.

Un chef-d’œuvre dont on ne cite plus le nom. Une représentation du marchand de sable on ne peut plus symbolique que l’on retrouvera tout le long de la saga avec brio. Bien que le premier opus reste sans doute l’un des meilleurs.

NightmareElmStreet

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Créez un site ou un blog sur WordPress.com

Retour en haut ↑

%d blogueurs aiment cette page :