Génération perdue aka The Lost Boys, film américain réalisé par Joel Schumacher, 1987
Une mère élevant seule ses deux fils, s’installe chez son père en Californie, mais ce village est hanté par un groupe de vampires, entraînant le fils aîné dans leurs sombres pérégrinations. L’un des meilleurs films de vampires des années 1980, à qui l’on doit une bande originale toute aussi exceptionnelle.

La Nuit de la comète aka Night of the Comet, film américain réalisé par Thom Eberhardt, 1984
Deux jeunes femmes sont les rares survivantes d’une destruction massive sur Terre causée par l’arrivée une comète. Elles errent dans la ville et se réfugient dans un bunker avec l’aide de scientifiques et vont au fur et à mesure rencontrer d’autres survivant·e·s. Moins classique que certains films post-apocalyptiques des années 1980, mais avec un style underground particulier, rappelant le Dawn of the Dead de George Romero (1978)

Massacre au camp d’été aka Sleepaway Camp, film américain réalisé par Robert Hiltzik, 1983
Angela, âgée de 13 ans, séjourne au camp d’été avec sa cousine et se trouve être la cible de toutes sortes de blagues. Alors que des crimes étranges se succèdent, les doutes se tournent vers la jeune fille, qui s’isole de plus en plus. Avec le classique Vendredi 13, Massacre au camp d’été reste l’un des meilleurs dans le genre « séjour au camp qui tourne mal ». Avec en prime une scène finale spectaculaire et inattendue.

La Nuit des Démons aka Night of the Demons, film américain réalisé par Kevin Tenney, 1988
Alors qu’une fête d’Halloween est organisée à l’école, une bande d’ami·e·s change de programme pour se diriger vers une maison dite hantée. Ils vont devoir alors affronter les forces du mal, bien décidées à s’inviter elles-aussi à la petite fête. Malgré un pitch banal pour l’époque, les effets spéciaux restent sympathiques et divertissants.

Waxwork, film américain réalisé par Anthony Hickox, 1988
Un étrange propriétaire d’un musée de cire invite un groupe de jeunes gens. Ils ignorent que ces statues représentant des monstres célèbres prennent vie par le biais d’une faille spatio-temporelle. Un petit mélange entre comédie et horreur dans ce musée de cire version US.

L’Amie mortelle aka Deadly Friend, film américain réalisé par Wes Craven, 1986
Paul, adolescent de 15 ans, est un petit génie de l’électronique. Il est amoureux de sa voisine Samantha qui est morte dans un accident. Ne se résignant pas à sa mort, il décide de redonner vie à la jeune femme. Un Frankenstein version Wes Craven. Un véritable ovni.

Massacres dans le train fantôme aka The Funhouse, film américain réalisé par Tobe Hooper, 1981
Amy et ses ami·e·s décident de passer une soirée dans un parc d’attractions. Cette bande de jeunes étrangement attirée par le tunnel de l’horreur. Iels décident d’y passer la nuit et deviennent les témoins d’un meurtre. Moins connu que Massacre à la tronçonneuse, ce film reste l’un des plus original et hypnotique de Tobe Hooper.

Week-end de terreur aka April Fool’s Day, film américain réalisé par Fred Walton, 1986
Un groupe de lycéen·ne·s se retrouve dans une villa sur île, pour fêter leur dernière année. Chacun·e raconte ses petits secrets aux autres, tandis que d’autres commencent à faire des blagues comme tout bon premier avril… Un teen movie notable des années 1980, mêlant humour et slasher.

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