Chroniqueuse et animatrice à la radio, chanteuse et actrice, Estelle Burckel a plus d’un tour dans son sac. Après des études en sociologie et en ressources humaines, Estelle a travaillé dans le monde de l’entreprise avant de changer de voie pour se former dans le domaine du journalisme.
Depuis longtemps intéressée par l’Art, notamment en tant que chanteuse pendant une dizaine d’années, elle choisit le théâtre intégrant l’Artus en 2017.
J’avais envie de jouer des petits rôles dans des courts-métrages et même de faire de la figuration dans des séries ou des films. C’est un domaine que j’adore ! […] Etant donné que je débute dans le milieu du cinéma et du théâtre, je dois avouer que je suis attirée par tous les rôles pour le moment. Mon but est réellement de me former et pour cela, il faut tout essayer !
Inspirée par l’éternelle Marylin Monroe ainsi que les films de David Lynch, Stanley Kubrick et Alfred Hitchcock, Estelle adore un genre cinématographique : le thriller.
Le métier de comédien.ne lui apparaît comme une passion qui permet de s’amuser tout en permettant de rencontrer du monde. Humaine et touche à tout, Estelle aime jouer les bad girls :
J’aime bien jouer les méchantes ou les bad girl parce qu’on peut bien se lâcher et en faire 10 fois trop ! Dans la vraie vie je ne suis pas comme ça du coup ça me change bien et ça m’éclate !
Partageant avec l’association l’idée selon laquelle le cinéma d’horreur n’a malheureusement que peu de place en France tandis qu’il existe en grand nombre à travers des grosses productions américaines, Estelle a rejoint l’équipe de Three Mothers Films en 2018 pour le projet du court-métrage Point d’Horizon, adaptation de la nouvelle éponyme de l’écrivain strasbourgeois Arnaud Niklaus.
Three Mother Films avait posté une annonce pour un rôle, je suis allée au casting et j’ai tout de suite accroché avec les personnes dans l’association, leur passion pour le cinéma est très forte, ça se ressent… Les membres de l’association consacrent leur temps libre à scénariser et produire des films d’horreur en Alsace, c’est vraiment un super projet ! Je suis heureuse d’avoir pu collaborer avec eux 🙂
Encore merci à la gentille bad girl, Estelle, pour son dynamisme et sa motivation !
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